« Sans BOOST, je ne serais pas où j’en suis aujourd’hui »
Le mercredi 13 mai, les élèves néerlandophones de 4e secondaire du projet BOOST se sont rassemblés pour la dernière fois à Bruxelles. Ils y ont suivi un atelier sur la gestion du stress. « J’ai du mal à croire que c’est le dernier atelier », avoue Haya Zamin, étudiante. « C’est passé tellement vite. »
#instructif
« Au total, ils ont suivi 14 ateliers en 2015 », explique Els Tijskens, accompagnatrice pour BOOST. « Au début, nous avons donné un journal à chaque jeune. Ils y consignaient eux-mêmes ce qu’ils ont fait et appris. » Hassan Al Hilou, étudiant, travaille par exemple avec une échelle de cotation et des « hashtags ». « Le dernier atelier a obtenu 10/10 et le hashtag #instructif », rigole Hassan.
Peindre à nouveau grâce à BOOST
Haya a montré au reste du groupe l’une des peintures qu’elle a récemment réalisée. « Waouh, c’est beau ! », a réagi le groupe à l’unanimité. Haya raconte que, grâce à BOOST, elle a retrouvé le goût de la peinture. « J’avais mis cette passion un peu de côté. Mais après avoir suivi l’atelier ”Talents en action”, mon envie s’est pleinement réveillée. Depuis, je peins tout le temps ! »
BOOST ouvre des portes
Lorsqu’on leur demande ce que BOOST signifie pour eux, les jeunes sont tous du même avis. Shanta Suman Das, étudiante : « Sans BOOST, je ne serais pas où j’en suis aujourd’hui. Nous apprenons beaucoup, et sur nous-mêmes également. » « En effet », confirme Astha Tiwari. « Et nous découvrons tellement de choses que nous n’apprendrions pas à l’école. » Hassan complète : « BOOST nous donne une chance et ouvre des portes qui nous seraient autrement fermées. C’est fantastique d’avoir pu y participer. »